Après son succès au théâtre de rue d’Aurillac l’an passé, l’ancien candidat déchu de la primaire de la droite et du centre avec seulement 0,3% des voix a décidé de revenir dans le Cantal, avec un nouveau tour de chant dans la valise.
Car derrière l’homme politique se cache un artiste que la musique a bercé durant sa traversée du désert entre 2014 et 2016. « Je me revendique désormais des chansonniers anarchistes tels que Léo Ferré et autre Georges Brassens » nous confie l’ancien ministre.
C’est donc sur le plus grand festival de Boogie-woogie au monde que Jean-François Copé a jeté son dévolu, pour le plus grand plaisir des festivaliers présents. Ces derniers ont dansé tout le week-end au rythme frénétique du piano de JFC, le « prince du jazz » comme il aime à se faire appeler désormais.
« Nous sommes venus de Belgique pour apercevoir Jean-François Copé, et nous n’avons pas été déçu. Cet homme a un charme fou et le rythme dans la peau » nous confie ce festivalier affublé d’une casquette Cantal Auvergne. « Je crois qu’il a trouvé là sa vraie vocation » nous lance un autre.
« J’adore le Cantal, et en plus je connais bien Vincent Descoeur, ou « VD » comme on l’appelle par chez nous. Je reviendrai avec grand plaisir. » nous confie Jean-François Copé entre deux autographes, avant de conclure « En plus le ticket d’entrée n’est que de 0,3€ il me semble, soit le prix de 2 pains au chocolat ! »